Vassal, dans la société féodale, on investit d’un fief en échange de services rendus à un suzerain. Certains vassaux n’avaient pas de fiefs et vivaient à la Cour de leur Seigneur en tant que Chevaliers domestiques. Certains vassaux qui tenaient leurs fiefs directement de la couronne étaient locataires en chef et formaient le groupe féodal le plus important, les barons. Un fief tenu par les locataires de ces locataires en chef était appelé un arriere-fief, et, lorsque le roi convoquait toute l’armée féodale, il était dit de convoquer le ban et arriere-ban., Il y avait aussi des vassales féminines; leurs maris remplissaient les services de leurs femmes.
en vertu du contrat féodal, le Seigneur avait le devoir de fournir le fief à son vassal, de le protéger et de lui rendre justice dans sa cour. En retour, le Seigneur avait le droit d’exiger les services attachés au fief (militaire, judiciaire, administratif) et un droit à divers « revenus” appelés incidents féodaux. Des exemples d’incidents sont l’allégement, un impôt payé lorsqu’un fief a été transféré à un héritier ou aliéné par le vassal, et le sabotage, un impôt payé en lieu et place du service militaire., Les arrangements arbitraires ont été progressivement remplacés par un système de cotisations fixes à des occasions limitées par la coutume.
le vassal devait fidélité à son seigneur. Un manquement à ce devoir était un crime, considéré comme une infraction si odieuse qu’en Angleterre tous les crimes graves, même ceux qui n’avaient rien à voir avec la féodalité proprement dite, en sont venus à être appelés crimes, car, en quelque sorte, ils étaient des violations de la fidélité due au roi en tant que gardien de la paix et de,
Les droits des vassaux sur les fiefs sont devenus de plus en plus grands au fil du temps, et bientôt les fiefs sont devenus héréditaires dans le sens où l’investiture ne pouvait pas être refusée à un héritier qui était prêt à rendre hommage. Les règles de succession tendaient à sauvegarder un fief indivis et préféraient l’aîné des fils (primogéniture). Ce principe était loin d’être absolu; sous la pression des fils plus jeunes, des parties d’un héritage pourraient être mises à part pour eux en compensation (voir appanage)., Les vassaux ont également acquis le droit d’aliéner leurs fiefs, sous réserve, d’abord, du consentement du Seigneur et, plus tard, du paiement d’un certain impôt. De même, ils ont obtenu le droit de subinfeuder—c’est-à-dire de devenir seigneurs eux-mêmes en accordant des parties de leurs fiefs à leurs propres vassaux. Si un vassal mourait sans héritier ou commettait un crime, son fief revenait au Seigneur (voir escheat).