le cloaque de grenouille est un court tube simple recevant à son extrémité interne les conduits génitaux et urinaires, le rectum et la vessie allantoïque. Le cloaque femelle dîne du mâle seulement dans l’ajout des canaux Mullériens., Les conduits s’ouvrent sur une crête de tissu vacuolé marquant la limite du cloaque et du rectum. Il fonctionne dans le cadre d’une valve recto‐cloacale et rapproche les ouvertures urinaires de l’ouverture de la vessie. L’épithélium de revêtement du cloaque est dérivé pour moitié de l’ectoderme et pour moitié de l’endoderme; le premier dans sa stratification et ses glandes ressemble à la peau, le second est composé de cellules glandulaires hautes avec une certaine ressemblance avec celles du rectum., La structure générale de l’organe est similaire partout; l’épithélium est soutenu par une couche de tissu conjonctif lâche contenant des espaces lymphatiques; celui-ci est à son tour entouré d’une couche de muscles circulaires puis longitudinaux intégrés dans un tissu conjonctif dense, à l’extérieur duquel sont attachés les muscles extrinsèques du cloaque.
une séquence de changements se produit dans l’épithélium endodermique et le tissu conjonctif en dessous qui peuvent être corrélés avec les étapes du cycle sexuel., Après la saison de reproduction, il y a un effondrement des cellules épithéliales individuelles et des plis, ce dernier étant apparemment dû à une réduction des espaces lymphatiques du tissu conjonctif lâche; à la fin de l’été et à l’automne, les cellules et les plis sont progressivement construits jusqu’à un état intermédiaire qui persiste pendant l’hiver, atteignant un élargissement final Il est suggéré que la fonction de ce tissu est de débusquer et de lubrifier le cloaque, en particulier pour le passage des ovules et des spermatozoïdes., L’Injection d’un extrait stimulant la croissance de l’hypophyse antérieure provoque une accélération du processus d’accumulation, légère en juin mais marquée en octobre, et l’injection d’un extrait stimulant les gonades semble produire une tendance à l’état post‐reproduction, il est donc suggéré que cette partie du cloaque fait partie fonctionnellement du système du canal génital, qui est, selon Spaul et Gladwell, sous contrôle hypophysaire. Ces injections et d’autres ne produisent dans la partie ectodermique du cloaque que les effets qu’elles produisent sur la peau elle-même.