contexte * la littérature médicale sur l’utilisation de la progestérone chez les femmes ménopausées est souvent confuse et contradictoire. Certains médecins impliquent la progestérone naturelle dans une augmentation du risque de cancer du sein. La structure chimique de la progestérone naturelle (P4) est très différente des produits chimiques synthétiques modifiés chimiquement appelés progestatifs, ce qui entraîne différentes actions au niveau cellulaire., Objectif * L’équipe de recherche avait l’intention d’examiner la documentation pour examiner les avantages et l’innocuité de la progestérone naturelle et déterminer si elle peut entraîner une augmentation ou une diminution du risque de cancer du sein. Conception * une revue de la littérature médicale pour examiner les avantages et l’innocuité de la progestérone naturelle par rapport aux progestatifs synthétiques., Intervention * les études examinées ont comparé des témoins ne recevant pas d’hormonothérapie avec des femmes recevant de l’œstrogène seul et en association avec de la progestérone naturelle et avec divers progestatifs synthétiques, tels que l’acétate de médroxyprogestérone-le progestatif synthétique le plus couramment utilisé. Mesures des résultats • les mesures des résultats comprenaient des facteurs tels que la progression et la survie du cancer du sein et d’autres cancers, ainsi que d’autres données épidémiologiques et de laboratoire., Résultats * une méta-analyse de 3 études portant sur 86 881 femmes ménopausées a rapporté que l’utilisation de progestérone naturelle était associée à un risque significativement plus faible de cancer du sein par rapport aux progestatifs synthétiques. L’Anovulation et de faibles taux de progestérone sérique ont été associés à un risque significativement plus élevé de cancer du sein chez les femmes préménopausées. L’utilisation de progestérone a été liée à des taux plus faibles de cancers de l’utérus et du côlon et peut également être utile dans le traitement d’autres cancers tels que l’ovaire, le mélanome, le mésothéliome et la prostate., La progestérone peut également être utile dans la prévention des maladies cardiovasculaires et la prévention et le traitement des conditions neurodégénératives telles qu’un accident vasculaire cérébral et une lésion cérébrale traumatique. Conclusions * les médecins ne devraient pas hésiter à prescrire de la progestérone naturelle. La preuve est claire que la progestérone ne cause pas le cancer du sein. En effet, la progestérone est protectrice et préventive du cancer du sein.

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